L'auteur traite du douloureux sujet de la fin de vie puisqu'il s'agit de la mort de sa propre mère qui, à quatre vingt douze ans et malade, décide de mettre un terme à ses jours. Ce texte porte un éclairage dans la réflexion générale sur la vieillesse, sur la dégradation et la souffrance du corps et sur la liberté de l'individu du choix de sa mort.
Mathilde a six ans. Sa mère, Céline, l'emmène pour les vacances dans une maison provençale louée avec Christiane, sa meilleure amie, dont la fille, Bénédicte est à peine plus âgée que Mathilde. C'est dans cette ambiance, toute féminine, que Rémi, sept ans, va faire irruption.
Silences et bruits semblent scander cette histoire. Silences de lunes, clapotis de l'eau sont le décor de ce conte d'amour, de force et d'abandon, où les corps parlent d'eux-mêmes.
La venue au monde de sa petite-fille a déclenché ce récit de N. Châtelet, dans lequel elle dialogue avec l'enfant et avec sa propre mère qu'elle regrette. Elle évoque un lien qui se construit et des multiples échos émotionnels réveillés par cette expérience et une réflexion sur l'enfant qui devient adulte mais reste toujours un enfant aux yeux de ses parents.
La petite cinquantaine, un métier, publicitaire, un amant, une fille, et l'habitude de vivre à cent à l'heure. Et puis, un jour, Solange remonte le flot de la foule citadine. Quelque chose ralentit la hâte générale. C'est une vieille femme en robe de crêpe marine
Jean-Marc, un psychanalyste, est troublé par une de ses patientes qui prétend communiquer avec un fantôme. Invité à Nohant dans l'ancienne demeure de George Sand, il entre en contact avec l'esprit de l'ancien palefrenier du domaine qui a des révélations à lui faire
L'auteure effectue une réflexion sur l'adaptation au cinéma de son livre La dernière leçon. Elle fait le point sur son engagement et raconte cette expérience intime.
L'auteure effectue une réflexion sur l'adaptation au cinéma de son livre La dernière leçon. Elle fait le point sur son engagement et raconte cette expérience intime.